1.3.11

TRians, UBac, NELlY sur foND De VIgnes


 
Le très joli domaine de Trians. L'arrière pays varois offre de belles découvertes. Et samedi nous étions, avec notre CHèrecHère Véro, sur les routes de Néoules, à éviter Carces. En pleine vallée de l'Issole, pour y chercher ce doux vins de Trians (comme des cochons, leurs truffes). Si le ciel n'était pas de la partie, l'entrée du domaine, puis sa découverte furent un vrai plaisir. Un flanc de colline (nord-est d'où, l'Ubac) encore endormi par l'hiver stagnant, mais déjà quelques touches de couleurs. A elle seule l'allée de muriers platanes amenant les visiteurs au domaine, nous enchantait. Bicentenaires, tricentenaires? Même l'oenologue ne savait plus. On y faisait l'élévage précédemment des vers à soie. On préféra par le temps, y cultiver des vignes, mais l'on garda quelques unes des allées de muriers.








Trois superbes bastides, très provençales, surplombent l'allée centrale. Sur leurs flancs les premières rangées de vignes. Et cette odeur, âpre, de terre, argilo-calcaire... une couleur très claire, du fait de ce sol caillouteux. Vives les vendanges tardives. Et le bon air.



Si le propriétaire était absent lors de notre venue, le comité d'accueil était présent. Nelly. 9 mois. A fond les ballons. Grosses léchouilles. Grosses courses dans tout le domaine. Une belle trouille des fils électriques et des chaussettes blanches en guise de papattes. J'ai visité toute la propriété. Elle aurait pu me faire faire trois fois le tour de toute façon. Pour tout de même, me ramener, au noeud de l'affaire, là en haut de l'escalier : la salle des dégustations. Youhou... Ah. A 10H30, un p'tit viognier ça ce mérite, apprécie et puis au dodo.




















Après, on aurait du éviter Le Luc, Le Cannet, Vidauban (désolée chéri) mais c'est trop pourri. Les lasagnes du routier ont mis deux jours pour être digérées. "Le Mistral", son club d'équitation et ces chasseurs... Ces femmes de chasseur même... On aurait du rester sur Trians toute la journée. A boire blanc de blanc sur syrah. On y reviendra? Au printemps...


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